Archipel des Lofoten, îles du bout du monde et soleil de minuit
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Sur le trajet de l’Express côtier, en mer de Norvège, en quittant le continent et la ville de Bode, alors qu’on a déjà franchi le cercle polaire arctique, on se trouve, face à un impressionnant mur d’îles de plus de cent kilomètres de long : l’archipel des Lofoten...
Sur le trajet de l’Express côtier, en mer de Norvège, en quittant le continent et la ville de Bode, alors qu’on a déjà franchi le cercle polaire arctique, on se trouve, face à un impressionnant mur d’îles de plus de cent kilomètres de long : l’archipel des Lofoten...
Paysages exceptionnels
Ces îles, où vivent quelques 23.000 personnes, sont toutes reliées entre elles par une route et portent des noms qui semblent un peu barbares : Austvagoy, Flakstadoy, Moskenesoy etc.
Baies étroites, parois vertigineuses, fjords sinueux abritent ça et là des hameaux et des petits ports faits de cabanes de pêcheurs (ou rorbuer) en bois rouge montées sur pilotis et adossées à des séchoirs à morue, devant lesquelles se dandinent quelques barques et des chalutiers serrés les uns contre les autres, des pubs, des restaurants et quelques habitations de bois colorées en jaune paille, bleu ou rouge.
Ceux qui font le choix de découvrir ces îles au moment du soleil de minuit, à partir de juin, bénéficient d’une lumière inégalée éclairant des montagnes vieilles de milliers d’années qui se reflètent dans le miroir des eaux marines.
Quelques bouleaux rabougris et des sorbiers abritent des oiseaux, surtout des mouettes et des goélands mais leurs principaux sanctuaires sont plutôt des rochers.
L’air est d’une pureté presque palpable, c’est le seul endroit au monde où l’on peut regarder les aurores boréales sans mourir de froid. Ces aurores dessinent des anges vert pâle ou rouges flottant dans la nuit polaire et ses étoiles. Quasiment impossibles à photographier elles offrent au spectateur un avant goût de paradis fait de paix et d’harmonie et procure comme une force qui ramène vers l’essentiel.
Coups de cœur
De ce voyage, outre les Lofoten, la découverte d’un glacier en bateau rapide, est un point fort qui permet d’approcher et d’observer l’aigle de mer, un des plus grands oiseaux de proie d’Europe…
Mais le grand coup de cœur, je l’ai ressenti dès l’arrivée dans la ville de Bergen, cité maritime, ancienne capitale jusqu’au XIXe siècle, dont le centre architectural, inscrit par l’UNESCO au patrimoine de l’humanité, témoigne de sa place au sein de la Ligue Hanséatique au Moyen Age.
Bergen, fascinante s’il en est, fut aussi la ville natale de Grieg et la vie culturelle y tient une place privilégiée, notamment avec un musée consacré presque exclusivement au peintre expressionniste norvégien, Edward Munch dont tout le monde connaît la toile intitulée « Le Cri ».
I. Aubert
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